Qui n’a pas rêvé d’un peu plus de liberté ?

La liberté de pouvoir des choses qui nous font plaisir sans se sentir jugé, d’avoir SES projets, de faire SES choix…

Combien de fois ai-je entendu : Ah, si j’avais 10 ans de moins je créerai ma boîte, ou je partirai m’installer à l’étranger, je ferai le tour du monde…. ou bien si j’avais plus d’argent je pourrai me permettre de faire telle ou telle chose !

Ou encore : j’aimerai bien, mais avec les enfants c’est impossible ! Ces phrases renvoie l’image d’un manque de liberté.

Et si je vous disais qu’il est possible d’avoir cette liberté ?

La liberté d’avoir envie de vous lever tous les matins par plaisir, parce que vous aimez déjà la journée qui vous attend, une journée où vous allez apprendre des choses, vous nourrir des échanges avec les autres, et surtout avoir l’impression de vous lever pour participer à quelque chose, non pas pour votre unique intérêt (pour vous aussi quand même !) mais pour un intérêt plus global, pour quelque chose de plus grand que vous.

Super me direz vous, mais comment fait on ?

Commencez par apprendre à sortir de votre zone de confort : lancez vous régulièrement des petits défis.

Sortir de sa zone de confort c’est s’obliger à sortir des limites que l’on s’est imposées, définies par ses croyances, par l’éducation que l’on a reçue, par notre propre histoire. A chaque évènement vécu on a tiré des conclusions, qui sont devenues des croyances (que l’on a pris soin de nourrir en cherchant des preuves au quotidien). Sauf que ces croyances ne seront pas forcément judicieuses et applicables à d’autres circonstances, puisque le contexte aura changé !

Prenons un exemple est imaginons que votre manager vous demande de présenter lundi prochain devant l’équipe une idée de réorganisation du travail dont vous lui aviez parlé.

Problème : vous vous considérez comme incapable de présenter cela devant un auditoire, étant tétanisé lorsque vous prenez la parole devant un public. Vous allez donc refuser (avec les conséquences que cela impliquera !).

Vous aurez tout un tas de bonne raison : « à chaque fois que j’ai voulu parler devant un auditoire, et ce depuis ma plus tendre enfance, je rougis, j’ai chaud, je ne me sens vraiment pas bien. Etant enfant, on a toujours dit de moi que j’étais timide, donc on m’a évité ce genre d’exercice ». Vous avez donc appris à éviter de prendre la parole étant adulte, et c’est aujourd’hui quelque chose qui ancré en vous, et vous êtes persuadé que cela vous est impossible (de plus, vous êtes capable de donner plein d’exemples qui prouvent que vous avez raison !).

Mais le contexte a changé, et vous n’êtes plus cet enfant qui n’osait pas parler devant des adultes, vous avez grandi !

Quel est votre pire ennemi dans cette histoire ? VOUS.

Comment pouvez vous régler cela ? Peut-être qu’au lieu de vous fermer et de donner une réponse négative, vous pourriez expliquer votre difficulté à prendre la parole en public à votre manager, et lui demander de bien vouloir faire une co-présentation de votre projet ? Cela vous permettrait de mettre en avant vos idées vis-à-vis du reste de l’équipe, de sortir de votre zone de confort en vous lançant le défi de prendre la parole, tout en vous sentant rassuré de ne pas le faire seul ?

Il existe des tas de défis que vous pouvez vous lancer et qui vont vous permettre de progresser, d’avancer, d’être fière de vos victoires, et surtout de vous sentir plus libre ! Il suffit juste d’oser, d’être bienveillant avec soi même et persévérant (si ça ne marche pas du premier coup, tant pis, on recommence !).

N’oubliez pas que c’est à la portée de tous, à condition de le vouloir ! Faites vous confiance !

Si vous avez besoin d’être accompagné pour aller plus loin dans cette démarche, contactez moi, je serai ravie de vous aider dans cette démarche !

Véronique LLUIS